Tous les prétextes sont bons pour pas bosser

Hier, après avoir passé trois heures à monter mon armoire, trois heures à réorganiser mon dressing et deux heures à faire du shopping pour fêter ça, je me suis affalée devant la télé avec mon magazine préféré et le quart de finale France-Brésil. Moi. Je précise que tout le foot que j’avais vu avant ça, c’était la demi-finale France-Chépluki en 98, et la finale contre le Brésil qui a suivi. Et les deux fois, c’était vraiment parce qu’Etre Exquis (par ailleurs pas amateur de ballon rond pour deux sous) m’avait traînée dans les bars où il passe une grosse moitié de sa vie histoire de profiter de l’ambiance conviviale. Cela dit j’avais trouvé ça très sympa, le côté communion populaire. Bon, hier soir en l’occurrence j’ai fait communion populaire toute seule avec ma télé, mais même comme ça, c’est vrai qu’il est difficile de rester insensible à l’allégresse des supporters et à l’exultation des joueurs après le coup de sifflet final. Du coup je me disais: tant qu’à faire, je vais regarder jusqu’à la fin. Sauf que pendant la demi-finale France-Portugal mercredi soir, je serai dans l’avion. Reste plus qu’à espérer qu’on aille en finale. Un moment mémorable pour le sport français à l’intérieur d’une semaine mémorable pour moi, ça le ferait bien…

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