La première était réputée si facile que certaines personnes l’avaient découverte sans la chercher! Mais nous avons eu beau patauger dans l’eau pendant près d’une demi-heure, nous n’avons pas réussi à la trouver sous le tablier de la passerelle qui était censée l’abriter. Chouchou a suggéré qu’elle était peut-être, en fait, sous le pont-levis du fort voisin. C’est ainsi que nous nous sommes fait rappeler à l’ordre par une dame qui nous a informés assez sèchement que ceci était une installation militaire et que nous n’avions rien à faire dans son enceinte. Oups. Nous sommes repartis bredouilles.
Pour obtenir les coordonnées de la cache suivante, il fallait résoudre une énigme sur laquelle pas mal de gens s’étaient cassé les dents. Nous y sommes parvenus très vite: en fait, elles étaient planquées parmi les numéros de série d’une cabine téléphonique. Nous les avons entrées dans notre GPS, qui nous a conduits jusqu’à un muret en bois dont seuls les poteaux pouvaient dissimuler quelque chose. Malheureusement, les estivants les avaient déjà bourrés de détritus en tous genres: mouchoirs en papier usagés, mégots de clopes, canettes vides, j’en passe et des meilleures. Nous avons transporté pas mal des détritus en question vers la poubelle la plus proche, mais lorsque j’ai manqué me couper la main sur un tesson de bouteille, j’ai jugé préférable de ne pas insister. Nous étions assez déçus d’échouer si près du but. A refaire en hiver, sans doute…
Heureusement que, dix petites minutes de marche plus tard, la cache de la basilique St-Sernin est venue nous remonter le moral. Elle était bien indiquée et astucieusement planquée dans un tube en métal dévissable:
Nous aurons donc cherché 13 caches durant notre semaine de vacances, et trouvé seulement 5 d’entre elles. Mais nous commençons à prendre le coup, je crois. J’ai déjà déterminé que les micro-caches ne m’amusent pas beaucoup, que par contre j’aime me creuser la tête sur des énigmes, et qu’à partir d’un terrain coté 2 sur 5, mieux vaut être en baskets pour bien chercher. Dès notre retour à Bruxelles, j’ai dressé une liste de caches à « faire » dans notre quartier. Croyez-le ou non, il y en a une juste de l’autre côté de la rue, quasiment en face de notre immeuble!
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