
Du potentiel, donc – mais gâché par un dessin basique et franchement affreux, là où un style sombre et délicat aurait pu instiller une atmosphère vénéneuse. Ne parlons même pas de l’épouvantable complaisance de l’auteur qui ne nous épargne rien des humiliations et des sévices subis par Aya aux mains de ses camarades psychopathes ou de son grand frère sadique. Certaines scènes sont à vomir. Et puis entre Aya-le payasson (pardon), son alliée Tsuyono qui considère tous les prétextes bons pour se venger, et la chasseuse assoiffée du sang des autres magical girls, comment s’attacher à un quelconque personnage? On l’aura compris: ce n’est pas une série que j’envisage de poursuivre, ou que je recommanderais à qui que ce soit.
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