« Le berger de l’Avent » (Gunnar Gunnarsson)

Le premier dimanche de l’Avent, le fermier Benedikt se met en route avec son bélier Roc et son fidèle chien Leo pour aller chercher les moutons égarés dans les montagnes avant qu’ils ne soient condamnés par l’hiver. C’est la 27ème fois qu’il entreprend ce périple à pied et à skis. Mais cette année, rien ne se passe comme prévu. D’abord retardé par des imprudents, Benedikt se trouve vite confronté à une météo extrêmement hostile…
Avec moins de 70 pages au compteur, ce très court roman se lit aussi vite qu’il laisse une forte impression. Benedikt est un homme simple qui se satisfait de peu et, même dans les pires situations, ne doute jamais de sa mission. Il a la force tranquille des gens qui se sentent à leur place dans le monde. Résultat, « Le berger de l’Avent » irradie la sérénité dans la tempête – d’une façon très littérale que la lectrice admirative que je suis aimerait pouvoir transposer dans sa propre vie.
Traduction de Gérard Lemarquis et Maria S. Gunnarsdottir

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